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• Mes pensées ne cessent d’aller vers vous, chères Jacquie, Stéphanie, Adeline. Je ne pourrai pas atténuer votre chagrin mais je voudrais partager avec vous quelques souvenirs qui s’accrochent à la belle personne qu’était Virginie. Ma mère l’aimait beaucoup et admirait sa gentillesse, sa disponibilité et aussi son charme et son élégance (elle trouvait qu’elle ressemblait à Ines de la Fressange).
  Je suis contente qu’elle ait pu m’accorder un moment, vers 2010, alors qu’elle était très accaparée par son travail. Nous avons déjeuné en tête à tête sur l’île de la Cité et parlé de nos vies respectives. Elle m’a dit combien il était difficile parfois d’assumer un parcours singulier aux yeux des autres, à savoir son célibat et je la comprenais.
  Nous devions nous revoir, ça ne s’est pas fait. Mais chaque fois que nous nous sommes parlé au téléphone, j’étais touchée par sa gentillesse, sa disponibilité, exactement ce que ma mère avait tant apprécié, et aussi sa gaieté, son entrain, son dynamisme envers et contre tout. Elle est et restera pour moi un exemple de courage et de dignité.
  Je vous embrasse toutes les trois.

• Je vous présente mes sincères condoléances et garderai en mémoire nos discussions professionnelles ( drôles) et mes dernières discussions avec Virginie pendant la maladie ( moi même malade) un modèle de courage et de vraie gentillesse. Prenez soin de vous . Amitiés sincères. Agnès Vicens - Huet (collègue de Sanofi)